L’habitude consistant à renvoyer à demain ce que vous pouvez faire aujourd’hui est un poison pour votre avenir.
Très souvent, je rencontre des jeunes qui croient qu’ils auront le temps de faire ci, de faire ça. Certains d’entre eux croient que la jeunesse, c’est-à-dire entre 18 et 30 ans, c’est la période pendant laquelle il serait permis de gaspiller le temps à volonté. Ils vivent au jour le jour, sans plan. Sans se rendre compte, ils sont pris d’assaut par une série de circonstances qui les maintiennent dans la paresse et dans la pauvreté.
L’acteur américain Arnold Schwazennegger exhorte les jeunes à commencer maintenant, à éviter la perte de temps. Celui qui refuse de commencer aujourd’hui risque de ne jamais commencer. Or, qui n’avance pas regresse. « Si vous ne commencez pas aujourd’hui, quand allez-vous le faire ? », demande-t-il.
« Le temps devrait être votre ami, pas votre ennemi. », affirme l’entrepreneur haïtien Josué Pierre-Paul. En tant qu’ami, vous ne devriez pas le gaspiller, le tuer. Mais vous devriez l’aimer et en prendre soin. Si vous n’en prenez pas soin, vous vous condamnez, car le temps ne pardonne pas.
Souvent, quand on demande aux gens de commencer, ils ont une vision égoïste. Ils veulent toujours commencer seuls. C’est l’un des points à améliorer chez beaucoup de gens. Le sud-africain Nelson Mandela confirme que nul, en agissant seul, ne peut réussir seul.
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